Auteur | |
---|---|
Date de publication | 2022 |
Langue | Français |
Format | 110 x 180 |
Nombre de pages | 126 |
ISBN | 979-8-88862-803-4 |
As they can, we can
4000 CFA
I have traced the symptoms of misery and poverty through these stories, which are illustrations of the social realities of Africa. It is therefore one of the essential diagnoses to meet the challenges of underdevelopment of this continent that continues to kill its future.
The underdevelopment of this continent is not only a political problem, but it is also due to the concepts or practices of life of populations who refuse to reorganize their society with a minimum of seriousness.
Avis des clients
Il n'y a pas encore d'avis client.
Livres similaires
-
Le soleil éclaté
L’œuvre présente la vie passionnante et mouvementée d’une plantation avec ses joies et ses difficultés. C’est une aventure pleine de rebondissements où se mêlent l’action, l’amour et l’exotisme si particulier à l’Afrique. Cet ouvrage séduit tous ceux qui rêvent encore d’ailleurs et d’autrement.
-
Rugueux Cordage
Cette histoire navigue entre plusieurs époques ; une, vieille de plusieurs générations, une autre, passerelle et une dernière naissante avec beaucoup de renouvellements et de révolutions surtout technologiques. Elle se déroule également entre deux lieux, un centre rural, le village et un centre urbain en métamorphose, la capitale. C’est l’histoire d’un petit garçon privé des siens dès sa naissance, puis ramené à la source grâce à la bienveillance d’une mère, et qui apprend à comprendre, à marcher et à concilier tous ces mondes, leurs richesses ainsi que leurs tares.
-
Le crime de trop
Héritier et gestionnaire des activités champêtres de son père, Agossou est titulaire d’un baccalauréat série A. Il perd très tôt, le soutien de son père médaillé d’or « Meilleur producteur du coton » fauché dans la pandémie du choléra qui a sévi dans le pays. Deux ans plus tard, il élève son pays au rang de premier producteur de l’or blanc. Avide de pouvoir, il assassine son neveu en échange d’une potion magique afin d’étendre son règne sur sa collectivité et envisage un avenir politique. Mécontentes, les divinités Sakpata, Gou et autres dieux ont manifesté leur colère sur ses progénitures. Ces dernières endurent la maladie éruptive. Son épouse enceinte fut foudroyée par le moulin et son champ de coton qualifié d’or blanc saccagé. Renié par ses pairs, Agossou fuit la justice et se réfugie chez son cousin Lévis, conducteur de taxi moto en ville. À la cité, Agossou s’est fait remarquer par ses analyses pointues des actualités politiques et devint le leader des Zémidjan. Avec ruse, retors et rage, il se retrouve au sommet à la pyramide de son parti politique. Il détourna des fonds et autres et crée ses propres entreprises. Pour satisfaire ses ambitions et être plus plébiscité, Agossou élimine son cousin hypocrite.
-
Le château dürande (1835)
Lorsqu’un Africain, passionné de lettres, décide de traduire une oeuvre allemande de 1835 pour la rendre accessible au monde francophone, il ne fait que s´inscrire dans cette pensée riche en enseignements de l´auteur congolais Mbwil a Mpang Ngal : « Les cultures ne survivent que par l´ouverture à d´autres cultures qui les libèrent de leur tendance au narcissisme collectif » (Giambatista Viko ou le viol du discours africain. Paris, Hatier 1984, p. 112). Dans cette perspective, rapprocher le peuple africain du peuple européen, notamment allemand, au travers de la littérature qui fait pleurer, rire et éduque ne peut qu’être une expérience enrichissante. C´est ainsi que l´humanité grandira par l´échange des cultures et connaissances. Sortie des méandres de la littérature allemande, cette nouvelle traduite en français par Kangnikoé Adama dans l´esprit de divulguer les résultats de ses recherches relate les effets dévastateurs de la violence, non seulement sur ceux qui la subissent, mais aussi et surtout sur l´auteur même de la violence. L´image de boomerang sur la couverture est assez assévérative. D´ailleurs, Paul Hazoumé, auteur béninois, nous aurait avertis dans sa maxime à valeur de biosophie universelle : « Si le devin qui prédit la guerre y échappe, un des siens y périra sûrement » (Doguicimi. Paris : Larose, 1938, p. 432).
-
QUI L’AURAIT CRU ?
Cette histoire navigue entre plusieurs époques ; une, vieille de plusieurs générations, une autre, passerelle et une dernière naissante avec beaucoup de renouvellements et de révolutions surtout technologiques. Elle se déroule également entre deux lieux, un centre rural, le village et un centre urbain en métamorphose, la capitale. C’est l’histoire d’un petit garçon privé des siens dès sa naissance, puis ramené à la source grâce à la bienveillance d’une mère, et qui apprend à comprendre, à marcher et à concilier tous ces mondes, leurs richesses ainsi que leurs tares.
-
LA VOIX DU TAM-TAM
O! Bamako loin d’être dans tes secrets et les secrets de tes dieux, Je suis fort convaincu que ce combat n’a rien d’arrogance ni de provocateur. Mais juste une cause noble, légitime et patriotique à défendre à tout prix. Comme le tigre ne montre pas sa tactique, il saute sur sa proie et la dévore : Alors dans ta modestie doublée d’humilité reste ferme sans céder. Un iota à ces rapaces des pires espèces exogènes et endogènes Qui n’hésitent pas à sacrifier tout un peuple et sa civilisation. Mais sois la mère poule qui protège ses poussins !
-
Dis-moi grand-père koora’ngha !
Le jeune Dossou a beau tourner la question dans tous les sens, il n’arrivait pas à trouver une réponse. Comment Grand-père, sans être allé à l’école des Blancs, parvenait à lui transmettre avec aisance autant de connaissances, de philosophies et de sagesses ? Pourtant, la tradition du vieil homme était purement orale. À quelle école était-il donc allé ? De qui et comment le centenaire avait-il acquis autant de savoirs non écrits ?
-
Le cri des feuilles qui meurent
L’histoire se passe en Guinée. Elle commence en novembre 1970. Mais sait-on vraiment quand commence une histoire ? D’abord, il y a Sali. Adolescente de quinze ans, amoureuse de Mounirou, mais qui doit partir loin de lui car elle a attrapé la lèpre. Elle suit un rebouteux qui fait d’elle son esclave en échange de potions inutiles… Et puis, il y a le camarade Émile. Métis cultivé et zélé serviteur de la révolution. Nul nom n’est plus craint ni plus haï que le sien… Ensuite, il y a Fotédi, autre métis, et attardé mental, lui, qui croit avoir tué Allah, et qui ressemble étrangement au camarade Emile, le redoutable séide du régime… Il y a Gassimou, un truand qui veut tirer avantage de cette ressemblance en se servant du débile comme d’un passeport pour des amitiés lucratives… Il y a Ramatoulaye, une homosexuelle que sa mère voudrait marier à un commerçant amateur de pucelles… Il y a l’enfant de Sali, la lépreuse, car la nature, qui est parfois bonne, lui a donné un beau bébé… Il y a des voleurs d’enfants, des charlatans et des gendarmes… Il y a un chien famélique, des mercenaires portugais, et tant d’autres personnages qui croisent leurs destins… Il y a cette cour aux mendiants, véritable Cour des Miracles de notre époque, qui cache un terrible secret.
Soyez le premier à donner votre avis sur “As they can, we can”