Auteur | |
---|---|
ISBN | 978-99982-52-73-8 |
Date de publication | 2022 |
Langue | Français |
Nombre de pages | 100 |
Format | 110 x 180 |
POUR TOI
3000 CFA
Kate, jeune fille de la ville qui a perdu ses parents, héberge son petit ami chez elle et se prostitue pour subvenir à ses besoins, surtout payer sa scolarité à l’université. Mais que se passe-t-il quand celui-ci découvre ce que fait sa petite amie en lui offrant gratuitement de grosses sommes d’argent ? Comme dit-on, l’avenir nous réserve des surprises.
Avis des clients
Il n'y a pas encore d'avis client.
Livres similaires
-
Jouissance Fatale
Une jeune fille très vertueuse a été violée. Elle tombe enceinte alors qu’elle a un fiancé avec qui, elle n’a jamais eu de rapport sexuel. Elle se fait aider par une amie pour avorter. Plus tard, alors que sa vie semble reprendre un cours normal, elle apprend qu’elle a contracté le sida de son viol. En désespoir de cause, elle tue son agresseur sexuel. Pourra-t-elle parvenir à sauver son Amour ? C’est le contenu du roman qui vous est proposé. À travers la vie de Raïssa ou Armel en passant par celle de Djèmila et des autres, c’est le quotidien de certains et de tout le monde. Et chacun peut avoir le temps de comprendre qu’avec le sexe, on ne badine pas. Jouissance Fatale est un récit écrit dans un style mondain, accrocheur, pour éduquer et faire s’évader.
-
LA VOIX DU TAM-TAM
O! Bamako loin d’être dans tes secrets et les secrets de tes dieux, Je suis fort convaincu que ce combat n’a rien d’arrogance ni de provocateur. Mais juste une cause noble, légitime et patriotique à défendre à tout prix. Comme le tigre ne montre pas sa tactique, il saute sur sa proie et la dévore : Alors dans ta modestie doublée d’humilité reste ferme sans céder. Un iota à ces rapaces des pires espèces exogènes et endogènes Qui n’hésitent pas à sacrifier tout un peuple et sa civilisation. Mais sois la mère poule qui protège ses poussins !
-
Le cri des feuilles qui meurent
L’histoire se passe en Guinée. Elle commence en novembre 1970. Mais sait-on vraiment quand commence une histoire ? D’abord, il y a Sali. Adolescente de quinze ans, amoureuse de Mounirou, mais qui doit partir loin de lui car elle a attrapé la lèpre. Elle suit un rebouteux qui fait d’elle son esclave en échange de potions inutiles… Et puis, il y a le camarade Émile. Métis cultivé et zélé serviteur de la révolution. Nul nom n’est plus craint ni plus haï que le sien… Ensuite, il y a Fotédi, autre métis, et attardé mental, lui, qui croit avoir tué Allah, et qui ressemble étrangement au camarade Emile, le redoutable séide du régime… Il y a Gassimou, un truand qui veut tirer avantage de cette ressemblance en se servant du débile comme d’un passeport pour des amitiés lucratives… Il y a Ramatoulaye, une homosexuelle que sa mère voudrait marier à un commerçant amateur de pucelles… Il y a l’enfant de Sali, la lépreuse, car la nature, qui est parfois bonne, lui a donné un beau bébé… Il y a des voleurs d’enfants, des charlatans et des gendarmes… Il y a un chien famélique, des mercenaires portugais, et tant d’autres personnages qui croisent leurs destins… Il y a cette cour aux mendiants, véritable Cour des Miracles de notre époque, qui cache un terrible secret.
-
La croix de la mariée
Bénita et Benjamin sont amoureux l’un de l’autre. Ils ont terminé avec brio leurs études et ont trouvé chacun un emploi… La belle vie peut commencer, n’est-ce pas ? L’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux feront une seule chair, a dit l’écriture. Bénita et Benjamin y ont cru et rêvent d’un mariage réussi. Mais c’était sans compter avec une belle-mère envahissante et résolument décidée à pourrir la vie à sa bru. Alors les épreuves fusent de toute part et Bénita devrait y faire face seule avec, pour toute arme, son amour pour son mari. Le mariage finalement se révèle un véritable champ de bataille pour la femme qui s’y engage et une croix qu’elle est condamnée à porter au quotidien afin que l’humanité survive. Cet ouvrage dépeint vivement la condition de la femme dans le mariage. Il vise non seulement à sensibiliser les uns et les autres sur les dérives qui s’y observent, mais aussi à exhorter la femme à assumer avec bravoure cette noble mission qui lui est dévolue.
© Les Editions du Flamboyant…
-
Les soupirs de la Saint-Valentin
La voiture ralentit et se gara sur le côté. Le surveillant dévora Nina des yeux. — Pourquoi fais-tu la difficile, ma chérie ? fit-il d’une voix teintée de malice. Nina ne comprenait rien. Déjà, une main froide se glissa adroitement dans sa jupe. — Mais… monsieur, bredouilla-t-elle, en la repoussant. Pendant qu’elle interdisait de lui toucher les cuisses, le surveillant passa l’autre main dans son dos et, ayant trouvé la fermeture éclair, entreprit de découvrir le buste de son élève. Il se pencha en avant et lui imposa tout son poids afin qu’elle se laissât faire. Nina était affolée. C’était ses frêles muscles contre ceux en acier de l’autre. Comment trouver du secours dans ce désert ? Et avec toutes ces vitres teintées, fermées… Elle décida pourtant de lutter. Lutter jusqu’à son dernier souffle, jusqu’à l’ultime goutte de sueur. Le surveillant était fort avancé dans son entreprise. Il réussit à soulever la jupe et…
-
Mona Lisa des tropiques
Un jour, j’engageai un débat sérieux avec Sonia pour comprendre sa motivation à vouloir embrasser l’islam. Elle me fit remarquer qu’elle était très admirative du fait que Khady et moi avions su dominer nos coeurs pour ne pas nous laisser dépasser par le désir qui conduit à la liberté sexuelle. Je ne pouvais pas me contenter d’une explication aussi évasive ; je poussai ma curiosité et lui demandai ce qu’elle trouvait de si intéressant dans la chasteté. Elle m’expliqua avec une extraordinaire sérénité qu’au contact de Khady, elle avait fini par percevoir dans cette attente de découvrir ce côté de l’homme avec qui l’on doit passer sa vie, quelque chose, non seulement de sacré et de jubilatoire, mais aussi de nature à favoriser une meilleure gestion de la période d’apprentissage à la vie adulte. Le corps de la femme, me dit-elle, ne se brade pas mais se valorise ; il n’a certes pas une valeur marchande mais s’acquiert au prix d’une attention soutenue. Cette attente permettrait, selon elle, de tirer une meilleure satisfaction des rapports intimes dans le mariage.
-
On peut aussi pleurer de joie
Les hommes vous draguent dès qu’ils constatent que vous êtes libre, sans un mari à vos côtés. Certains même font fi de votre situation matrimoniale, vous mettent la pression et finissent toujours par atteindre leur but. Mais alors ils prennent leur envol pour d’autres horizons. Irma comprenait enfin et avait décidé de se construire une bonne conscience.
-
Babingo au nom des acculturés
Alex Babingo était alors bien loin de s’imaginer que braver l’interdit paternel n’était que le début d’un itinéraire qui devait, de l’autre bout du monde, le ramener aux racines même de sa culture et ses traditions. Babingo, au nom des acculturés est un vibrant plaidoyer pour l’instauration des langues nationales dans le système scolaire des pays africains de l’espace francophone.
Soyez le premier à donner votre avis sur “POUR TOI”