Auteur | |
---|---|
ISBN | 978-99919-0-331-6 |
Date de publication | 2015 |
Langue | Français |
Nombre de pages | 114 |
Format | 110 x 180 |
On peut aussi pleurer de joie
3000 CFA
Les hommes vous draguent dès qu’ils constatent que vous êtes libre, sans un mari à vos côtés. Certains même font fi de votre situation matrimoniale, vous mettent la pression et finissent toujours par atteindre leur but. Mais alors ils prennent leur envol pour d’autres horizons. Irma comprenait enfin et avait décidé de se construire une bonne conscience.
Avis des clients
Il n'y a pas encore d'avis client.
Livres similaires
-
Rugueux Cordage
Cette histoire navigue entre plusieurs époques ; une, vieille de plusieurs générations, une autre, passerelle et une dernière naissante avec beaucoup de renouvellements et de révolutions surtout technologiques. Elle se déroule également entre deux lieux, un centre rural, le village et un centre urbain en métamorphose, la capitale. C’est l’histoire d’un petit garçon privé des siens dès sa naissance, puis ramené à la source grâce à la bienveillance d’une mère, et qui apprend à comprendre, à marcher et à concilier tous ces mondes, leurs richesses ainsi que leurs tares.
-
POUR TOI
Kate, jeune fille de la ville qui a perdu ses parents, héberge son petit ami chez elle et se prostitue pour subvenir à ses besoins, surtout payer sa scolarité à l’université. Mais que se passe-t-il quand celui-ci découvre ce que fait sa petite amie en lui offrant gratuitement de grosses sommes d’argent ? Comme dit-on, l’avenir nous réserve des surprises.
-
Le roman féminin en Afrique de l’Ouest
Le roman est inconstablement le genre prépondérant de la littérature féminine d’Afrique noire francophone, celui qui témoigne avec le plus d’éclat, de sa vitalité et de l’intérêt grandissant que le public lui porte. Les romancières africaines renouvellent dans une approche dynamique la double question de la condition féminine et de la libération de la femme. Déjà riche d’oeuvres d’une grande valeur humaine et esthétique, cette littérature encore jeune a fait une entrée remarquée et vivement applaudie sur la scène littéraire. Par cette étude précise et richement documentée, l’auteur inventorie l’univers littéraire féminin d’Afrique de l’Ouest, et explore à travers ses œuvres les thèmes majeurs de la condition de la femme en Afrique.
-
Mona Lisa des tropiques
Un jour, j’engageai un débat sérieux avec Sonia pour comprendre sa motivation à vouloir embrasser l’islam. Elle me fit remarquer qu’elle était très admirative du fait que Khady et moi avions su dominer nos coeurs pour ne pas nous laisser dépasser par le désir qui conduit à la liberté sexuelle. Je ne pouvais pas me contenter d’une explication aussi évasive ; je poussai ma curiosité et lui demandai ce qu’elle trouvait de si intéressant dans la chasteté. Elle m’expliqua avec une extraordinaire sérénité qu’au contact de Khady, elle avait fini par percevoir dans cette attente de découvrir ce côté de l’homme avec qui l’on doit passer sa vie, quelque chose, non seulement de sacré et de jubilatoire, mais aussi de nature à favoriser une meilleure gestion de la période d’apprentissage à la vie adulte. Le corps de la femme, me dit-elle, ne se brade pas mais se valorise ; il n’a certes pas une valeur marchande mais s’acquiert au prix d’une attention soutenue. Cette attente permettrait, selon elle, de tirer une meilleure satisfaction des rapports intimes dans le mariage.
-
Les soupirs de la Saint-Valentin
La voiture ralentit et se gara sur le côté. Le surveillant dévora Nina des yeux. — Pourquoi fais-tu la difficile, ma chérie ? fit-il d’une voix teintée de malice. Nina ne comprenait rien. Déjà, une main froide se glissa adroitement dans sa jupe. — Mais… monsieur, bredouilla-t-elle, en la repoussant. Pendant qu’elle interdisait de lui toucher les cuisses, le surveillant passa l’autre main dans son dos et, ayant trouvé la fermeture éclair, entreprit de découvrir le buste de son élève. Il se pencha en avant et lui imposa tout son poids afin qu’elle se laissât faire. Nina était affolée. C’était ses frêles muscles contre ceux en acier de l’autre. Comment trouver du secours dans ce désert ? Et avec toutes ces vitres teintées, fermées… Elle décida pourtant de lutter. Lutter jusqu’à son dernier souffle, jusqu’à l’ultime goutte de sueur. Le surveillant était fort avancé dans son entreprise. Il réussit à soulever la jupe et…
-
La Désillusion de ces dames émancipées
Maman Rosine avait réussi à rabattre la porte et continuait tout simplement sa douche… Dans son coin, le petit Junior âgé de quatre ans dormait d’un sommeil paisible. Sa sœur Rosine n’était pas encore de retour des classes. Une réflexion déprimante envahit Basile. Son épouse se plaisait à jouer à l’allumeuse et à quoi d’autre encore ? Fallait-il la sortir de là et la bastonner pour se soulager un peu ? Basile se rappela tout de suite la dernière fois qu’il avait usé de violences à l’égard de son épouse : il avait payé six mille francs d’amende, vingt-deux mille francs de médicaments et remboursé onze mille francs pour le certificat médical avant de s’en sortir, alors qu’il avait été poussé à bout. Ce soir-là, l’attitude pour le moins incompréhensible de son épouse le vidait de toute énergie. Il se souvint de leur première rencontre et de tout ce qu’il avait enduré de la part des beaux parents pour obtenir sa main et pour l’épouser. Toutes ses économies y passèrent.
-
Folakê
Folakê, le personnage principal de ce roman est une jeune fille de vingt-quatre ans. Issue d’une famille noble, belle et intelligente, elle avait tout pour être heureuse. Mais hélas, sa vie n’a pas toujours été rose. Très jeune, elle s’était isolée et ne partageait aucun moment de convivialité avec sa famille. En grandissant, elle était en permanence comparée à sa sœur jumelle. Et comme si cela ne suffisait pas, elle était la principale cible d’une vengeance orchestrée contre son père. C’est bien plus tard qu’elle réalise son égarement et dans sa démarche pour aider sa sœur malade, elle rencontre l’amour…
-
Un casque pour Ébola
L’épidémie d’Ébola se caractérise par une forte fièvre, des vomissements, de violents maux de tête, de la diarrhée teintée de sang. Il faut dire que la spécificité de cette maladie est qu’elle entraîne rapidement le patient à la mort. Pour éviter de contracter cette maladie, il est important d’une part, d’éviter la consommation de la viande de brousse, des viandes rouges, et de bien se laver les mains avant de manger. D’autre part, il faut se rendre immédiatement à l’hôpital quand on présente l’un de ces symptômes ci-dessus énumérés.
Soyez le premier à donner votre avis sur “On peut aussi pleurer de joie”