Auteur | |
---|---|
ISBN | 978-99919-0-331-6 |
Date de publication | 2015 |
Langue | Français |
Nombre de pages | 114 |
Format | 110 x 180 |
On peut aussi pleurer de joie
3000 CFA
Les hommes vous draguent dès qu’ils constatent que vous êtes libre, sans un mari à vos côtés. Certains même font fi de votre situation matrimoniale, vous mettent la pression et finissent toujours par atteindre leur but. Mais alors ils prennent leur envol pour d’autres horizons. Irma comprenait enfin et avait décidé de se construire une bonne conscience.
Avis des clients
Il n'y a pas encore d'avis client.
Livres similaires
-
POUR TOI
Kate, jeune fille de la ville qui a perdu ses parents, héberge son petit ami chez elle et se prostitue pour subvenir à ses besoins, surtout payer sa scolarité à l’université. Mais que se passe-t-il quand celui-ci découvre ce que fait sa petite amie en lui offrant gratuitement de grosses sommes d’argent ? Comme dit-on, l’avenir nous réserve des surprises.
-
Rugueux Cordage
Cette histoire navigue entre plusieurs époques ; une, vieille de plusieurs générations, une autre, passerelle et une dernière naissante avec beaucoup de renouvellements et de révolutions surtout technologiques. Elle se déroule également entre deux lieux, un centre rural, le village et un centre urbain en métamorphose, la capitale. C’est l’histoire d’un petit garçon privé des siens dès sa naissance, puis ramené à la source grâce à la bienveillance d’une mère, et qui apprend à comprendre, à marcher et à concilier tous ces mondes, leurs richesses ainsi que leurs tares.
-
Babingo au nom des acculturés
Alex Babingo était alors bien loin de s’imaginer que braver l’interdit paternel n’était que le début d’un itinéraire qui devait, de l’autre bout du monde, le ramener aux racines même de sa culture et ses traditions. Babingo, au nom des acculturés est un vibrant plaidoyer pour l’instauration des langues nationales dans le système scolaire des pays africains de l’espace francophone.
-
Les soupirs de la Saint-Valentin
La voiture ralentit et se gara sur le côté. Le surveillant dévora Nina des yeux. — Pourquoi fais-tu la difficile, ma chérie ? fit-il d’une voix teintée de malice. Nina ne comprenait rien. Déjà, une main froide se glissa adroitement dans sa jupe. — Mais… monsieur, bredouilla-t-elle, en la repoussant. Pendant qu’elle interdisait de lui toucher les cuisses, le surveillant passa l’autre main dans son dos et, ayant trouvé la fermeture éclair, entreprit de découvrir le buste de son élève. Il se pencha en avant et lui imposa tout son poids afin qu’elle se laissât faire. Nina était affolée. C’était ses frêles muscles contre ceux en acier de l’autre. Comment trouver du secours dans ce désert ? Et avec toutes ces vitres teintées, fermées… Elle décida pourtant de lutter. Lutter jusqu’à son dernier souffle, jusqu’à l’ultime goutte de sueur. Le surveillant était fort avancé dans son entreprise. Il réussit à soulever la jupe et…
-
Folakê
Folakê, le personnage principal de ce roman est une jeune fille de vingt-quatre ans. Issue d’une famille noble, belle et intelligente, elle avait tout pour être heureuse. Mais hélas, sa vie n’a pas toujours été rose. Très jeune, elle s’était isolée et ne partageait aucun moment de convivialité avec sa famille. En grandissant, elle était en permanence comparée à sa sœur jumelle. Et comme si cela ne suffisait pas, elle était la principale cible d’une vengeance orchestrée contre son père. C’est bien plus tard qu’elle réalise son égarement et dans sa démarche pour aider sa sœur malade, elle rencontre l’amour…
-
Une vie
Ce roman relate l’histoire mouvementée d’une femme qui, tout au long de sa vie, s’est efforcée de vivre dans le strict respect du double héritage culturel qui l’attache à la fois à sa mère, une Ani de lignée royale au Bénin, et son père, de l’ethnie Yoruba, venu du Nigeria. On remarque chez ce sexagénaire, son attachement aux traditions. Cette jeune femme, Aïcha, a baigné dès son enfance, dans un environnement qui a moulu et façonné sa personnalité selon l’éducation inculquée par son père, vaillant descendant d’une longue lignée de rois. Ce sont les aléas de la vie qui l’avaient conduit sur d’autres rivages, loin des terres de ses ancêtres. Malgré cette migration, son sang princier n’a pas été altéré. Il a réussi à inculquer sa culture à sa fille qui avait tout de son caractère. Il était solidement attaché à sa culture yoruba et en fait un point d’honneur par dessus tout, à la transmettre à sa descendance dans toute sa dimension. Mais il est assez intelligent pour comprendre l’avantage de faire assimiler ces deux héritages à son enfant. Il a favorisé et encouragé sa fille, Aïcha, à se reconnaître dans les deux…
-
Le crime de trop
Héritier et gestionnaire des activités champêtres de son père, Agossou est titulaire d’un baccalauréat série A. Il perd très tôt, le soutien de son père médaillé d’or « Meilleur producteur du coton » fauché dans la pandémie du choléra qui a sévi dans le pays. Deux ans plus tard, il élève son pays au rang de premier producteur de l’or blanc. Avide de pouvoir, il assassine son neveu en échange d’une potion magique afin d’étendre son règne sur sa collectivité et envisage un avenir politique. Mécontentes, les divinités Sakpata, Gou et autres dieux ont manifesté leur colère sur ses progénitures. Ces dernières endurent la maladie éruptive. Son épouse enceinte fut foudroyée par le moulin et son champ de coton qualifié d’or blanc saccagé. Renié par ses pairs, Agossou fuit la justice et se réfugie chez son cousin Lévis, conducteur de taxi moto en ville. À la cité, Agossou s’est fait remarquer par ses analyses pointues des actualités politiques et devint le leader des Zémidjan. Avec ruse, retors et rage, il se retrouve au sommet à la pyramide de son parti politique. Il détourna des fonds et autres et crée ses propres entreprises. Pour satisfaire ses ambitions et être plus plébiscité, Agossou élimine son cousin hypocrite.
-
Le roman féminin en Afrique de l’Ouest
Le roman est inconstablement le genre prépondérant de la littérature féminine d’Afrique noire francophone, celui qui témoigne avec le plus d’éclat, de sa vitalité et de l’intérêt grandissant que le public lui porte. Les romancières africaines renouvellent dans une approche dynamique la double question de la condition féminine et de la libération de la femme. Déjà riche d’oeuvres d’une grande valeur humaine et esthétique, cette littérature encore jeune a fait une entrée remarquée et vivement applaudie sur la scène littéraire. Par cette étude précise et richement documentée, l’auteur inventorie l’univers littéraire féminin d’Afrique de l’Ouest, et explore à travers ses œuvres les thèmes majeurs de la condition de la femme en Afrique.
Soyez le premier à donner votre avis sur “On peut aussi pleurer de joie”