Auteur | |
---|---|
ISBN | 978-99982-64-53-3 |
Date de publication | 2021 |
Langue | Français |
Nombre de pages | 68 |
Format | 110 x 180 |
Dis-moi grand-père koora’ngha !
3000 CFA
Le jeune Dossou a beau tourner la question dans tous les sens, il n’arrivait pas à trouver une réponse. Comment Grand-père, sans être allé à l’école des Blancs, parvenait à lui transmettre avec aisance autant de connaissances, de philosophies et de sagesses ? Pourtant, la tradition du vieil homme était purement orale. À quelle école était-il donc allé ? De qui et comment le centenaire avait-il acquis autant de savoirs non écrits ?
Avis des clients
Il n'y a pas encore d'avis client.
Livres similaires
-
Les soupirs de la Saint-Valentin
La voiture ralentit et se gara sur le côté. Le surveillant dévora Nina des yeux. — Pourquoi fais-tu la difficile, ma chérie ? fit-il d’une voix teintée de malice. Nina ne comprenait rien. Déjà, une main froide se glissa adroitement dans sa jupe. — Mais… monsieur, bredouilla-t-elle, en la repoussant. Pendant qu’elle interdisait de lui toucher les cuisses, le surveillant passa l’autre main dans son dos et, ayant trouvé la fermeture éclair, entreprit de découvrir le buste de son élève. Il se pencha en avant et lui imposa tout son poids afin qu’elle se laissât faire. Nina était affolée. C’était ses frêles muscles contre ceux en acier de l’autre. Comment trouver du secours dans ce désert ? Et avec toutes ces vitres teintées, fermées… Elle décida pourtant de lutter. Lutter jusqu’à son dernier souffle, jusqu’à l’ultime goutte de sueur. Le surveillant était fort avancé dans son entreprise. Il réussit à soulever la jupe et…
-
La croix de la mariée
Bénita et Benjamin sont amoureux l’un de l’autre. Ils ont terminé avec brio leurs études et ont trouvé chacun un emploi… La belle vie peut commencer, n’est-ce pas ? L’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux feront une seule chair, a dit l’écriture. Bénita et Benjamin y ont cru et rêvent d’un mariage réussi. Mais c’était sans compter avec une belle-mère envahissante et résolument décidée à pourrir la vie à sa bru. Alors les épreuves fusent de toute part et Bénita devrait y faire face seule avec, pour toute arme, son amour pour son mari. Le mariage finalement se révèle un véritable champ de bataille pour la femme qui s’y engage et une croix qu’elle est condamnée à porter au quotidien afin que l’humanité survive. Cet ouvrage dépeint vivement la condition de la femme dans le mariage. Il vise non seulement à sensibiliser les uns et les autres sur les dérives qui s’y observent, mais aussi à exhorter la femme à assumer avec bravoure cette noble mission qui lui est dévolue.
© Les Editions du Flamboyant…
-
Le crime de trop
Héritier et gestionnaire des activités champêtres de son père, Agossou est titulaire d’un baccalauréat série A. Il perd très tôt, le soutien de son père médaillé d’or « Meilleur producteur du coton » fauché dans la pandémie du choléra qui a sévi dans le pays. Deux ans plus tard, il élève son pays au rang de premier producteur de l’or blanc. Avide de pouvoir, il assassine son neveu en échange d’une potion magique afin d’étendre son règne sur sa collectivité et envisage un avenir politique. Mécontentes, les divinités Sakpata, Gou et autres dieux ont manifesté leur colère sur ses progénitures. Ces dernières endurent la maladie éruptive. Son épouse enceinte fut foudroyée par le moulin et son champ de coton qualifié d’or blanc saccagé. Renié par ses pairs, Agossou fuit la justice et se réfugie chez son cousin Lévis, conducteur de taxi moto en ville. À la cité, Agossou s’est fait remarquer par ses analyses pointues des actualités politiques et devint le leader des Zémidjan. Avec ruse, retors et rage, il se retrouve au sommet à la pyramide de son parti politique. Il détourna des fonds et autres et crée ses propres entreprises. Pour satisfaire ses ambitions et être plus plébiscité, Agossou élimine son cousin hypocrite.
-
Rugueux Cordage
Cette histoire navigue entre plusieurs époques ; une, vieille de plusieurs générations, une autre, passerelle et une dernière naissante avec beaucoup de renouvellements et de révolutions surtout technologiques. Elle se déroule également entre deux lieux, un centre rural, le village et un centre urbain en métamorphose, la capitale. C’est l’histoire d’un petit garçon privé des siens dès sa naissance, puis ramené à la source grâce à la bienveillance d’une mère, et qui apprend à comprendre, à marcher et à concilier tous ces mondes, leurs richesses ainsi que leurs tares.
-
Camarades
Un jeune cadre intègre, consciencieux et modeste est recruté sans le savoir par le clan des camarades qui ont investi tous les rouages de l’État, de l’Administration publique et du Commerce. La seule règle des initiés, contrairement à leur profession de foi, est de gagner de l’argent, au mépris de toute règle éthique ou morale et de l’intérêt public. L’appétit du gain facile est insatiable, jusqu’au jour où ils deviennent eux-mêmes les victimes de leur propre système.
-
Mona Lisa des tropiques
Un jour, j’engageai un débat sérieux avec Sonia pour comprendre sa motivation à vouloir embrasser l’islam. Elle me fit remarquer qu’elle était très admirative du fait que Khady et moi avions su dominer nos coeurs pour ne pas nous laisser dépasser par le désir qui conduit à la liberté sexuelle. Je ne pouvais pas me contenter d’une explication aussi évasive ; je poussai ma curiosité et lui demandai ce qu’elle trouvait de si intéressant dans la chasteté. Elle m’expliqua avec une extraordinaire sérénité qu’au contact de Khady, elle avait fini par percevoir dans cette attente de découvrir ce côté de l’homme avec qui l’on doit passer sa vie, quelque chose, non seulement de sacré et de jubilatoire, mais aussi de nature à favoriser une meilleure gestion de la période d’apprentissage à la vie adulte. Le corps de la femme, me dit-elle, ne se brade pas mais se valorise ; il n’a certes pas une valeur marchande mais s’acquiert au prix d’une attention soutenue. Cette attente permettrait, selon elle, de tirer une meilleure satisfaction des rapports intimes dans le mariage.
-
Le roman féminin en Afrique de l’Ouest
Le roman est inconstablement le genre prépondérant de la littérature féminine d’Afrique noire francophone, celui qui témoigne avec le plus d’éclat, de sa vitalité et de l’intérêt grandissant que le public lui porte. Les romancières africaines renouvellent dans une approche dynamique la double question de la condition féminine et de la libération de la femme. Déjà riche d’oeuvres d’une grande valeur humaine et esthétique, cette littérature encore jeune a fait une entrée remarquée et vivement applaudie sur la scène littéraire. Par cette étude précise et richement documentée, l’auteur inventorie l’univers littéraire féminin d’Afrique de l’Ouest, et explore à travers ses œuvres les thèmes majeurs de la condition de la femme en Afrique.
-
LA VOIX DU TAM-TAM
O! Bamako loin d’être dans tes secrets et les secrets de tes dieux, Je suis fort convaincu que ce combat n’a rien d’arrogance ni de provocateur. Mais juste une cause noble, légitime et patriotique à défendre à tout prix. Comme le tigre ne montre pas sa tactique, il saute sur sa proie et la dévore : Alors dans ta modestie doublée d’humilité reste ferme sans céder. Un iota à ces rapaces des pires espèces exogènes et endogènes Qui n’hésitent pas à sacrifier tout un peuple et sa civilisation. Mais sois la mère poule qui protège ses poussins !
Soyez le premier à donner votre avis sur “Dis-moi grand-père koora’ngha !”