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  • La Désillusion de ces dames émancipées

    Maman Rosine avait réussi à rabattre la porte et continuait tout simplement sa douche… Dans son coin, le petit Junior âgé de quatre ans dormait d’un sommeil paisible. Sa sœur Rosine n’était pas encore de retour des classes. Une réflexion déprimante envahit Basile. Son épouse se plaisait à jouer à l’allumeuse et à quoi d’autre encore ? Fallait-il la sortir de là et la bastonner pour se soulager un peu ? Basile se rappela tout de suite la dernière fois qu’il avait usé de violences à l’égard de son épouse : il avait payé six mille francs d’amende, vingt-deux mille francs de médicaments et remboursé onze mille francs pour le certificat médical avant de s’en sortir, alors qu’il avait été poussé à bout. Ce soir-là, l’attitude pour le moins incompréhensible de son épouse le vidait de toute énergie. Il se souvint de leur première rencontre et de tout ce qu’il avait enduré de la part des beaux parents pour obtenir sa main et pour l’épouser. Toutes ses économies y passèrent.

    2500 CFA
  • Le cri des feuilles qui meurent

    L’histoire se passe en Guinée. Elle commence en novembre 1970. Mais sait-on vraiment quand commence une histoire ? D’abord, il y a Sali. Adolescente de quinze ans, amoureuse de Mounirou, mais qui doit partir loin de lui car elle a attrapé la lèpre. Elle suit un rebouteux qui fait d’elle son esclave en échange de potions inutiles… Et puis, il y a le camarade Émile. Métis cultivé et zélé serviteur de la révolution. Nul nom n’est plus craint ni plus haï que le sien… Ensuite, il y a Fotédi, autre métis, et attardé mental, lui, qui croit avoir tué Allah, et qui ressemble étrangement au camarade Emile, le redoutable séide du régime… Il y a Gassimou, un truand qui veut tirer avantage de cette ressemblance en se servant du débile comme d’un passeport pour des amitiés lucratives… Il y a Ramatoulaye, une homosexuelle que sa mère voudrait marier à un commerçant amateur de pucelles… Il y a l’enfant de Sali, la lépreuse, car la nature, qui est parfois bonne, lui a donné un beau bébé… Il y a des voleurs d’enfants, des charlatans et des gendarmes… Il y a un chien famélique, des mercenaires portugais, et tant d’autres personnages qui croisent leurs destins… Il y a cette cour aux mendiants, véritable Cour des Miracles de notre époque, qui cache un terrible secret.

    4500 CFA
  • Une vie

    Ce roman relate l’histoire mouvementée d’une femme qui, tout au long de sa vie, s’est efforcée de vivre dans le strict respect du double héritage culturel qui l’attache à la fois à sa mère, une Ani de lignée royale au Bénin, et son père, de l’ethnie Yoruba, venu du Nigeria. On remarque chez ce sexagénaire, son attachement aux traditions. Cette jeune femme, Aïcha, a baigné dès son enfance, dans un environnement qui a moulu et façonné sa personnalité selon l’éducation inculquée par son père, vaillant descendant d’une longue lignée de rois. Ce sont les aléas de la vie qui l’avaient conduit sur d’autres rivages, loin des terres de ses ancêtres. Malgré cette migration, son sang princier n’a pas été altéré. Il a réussi à inculquer sa culture à sa fille qui avait tout de son caractère. Il était solidement attaché à sa culture yoruba et en fait un point d’honneur par dessus tout, à la transmettre à sa descendance dans toute sa dimension. Mais il est assez intelligent pour comprendre l’avantage de faire assimiler ces deux héritages à son enfant. Il a favorisé et encouragé sa fille, Aïcha, à se reconnaître dans les deux…

    5000 CFA
  • Le roman féminin en Afrique de l’Ouest

    Le roman est inconstablement le genre prépondérant de la littérature féminine d’Afrique noire francophone, celui qui témoigne avec le plus d’éclat, de sa vitalité et de l’intérêt grandissant que le public lui porte. Les romancières africaines renouvellent dans une approche dynamique la double question de la condition féminine et de la libération de la femme. Déjà riche d’oeuvres d’une grande valeur humaine et esthétique, cette littérature encore jeune a fait une entrée remarquée et vivement applaudie sur la scène littéraire. Par cette étude précise et richement documentée, l’auteur inventorie l’univers littéraire féminin d’Afrique de l’Ouest, et explore à travers ses œuvres les thèmes majeurs de la condition de la femme en Afrique.

    10500 CFA
  • Facture de sang

    Après de longues nuits de harcèlement, Bêwi, la jeune féticheuse, épuisée, céda. Et ce fut le viol. Des mois plus tard, elle enfanta. A Diakha, la naissance de ce premier produit humain, issu de la collision entre l’Afrique et l’Europe, est vécue comme une « infamie ». L’auteur exhume à nouveau un cantique enseveli dans la douleur par les temps féroces, les convenances actuelles et le silence. Un roman qui s’interroge et interroge.

    3000 CFA
  • Le soleil éclaté

    L’œuvre présente la vie passionnante et mouvementée d’une plantation avec ses joies et ses difficultés. C’est une aventure pleine de rebondissements où se mêlent l’action, l’amour et l’exotisme si particulier à l’Afrique. Cet ouvrage séduit tous ceux qui rêvent encore d’ailleurs et d’autrement.

    4000 CFA