• Analyse diachronique et dialectologique des interférences lexicales observées

    Cette étude démontre une identité entre la langue songhaï à travers ses variantes et celle des écritures hiéroglyphiques. C’est pourquoi, le présent ouvrage est une suite logique de : La Vérité cachée compte tenu du rôle joué par l’Égypte antique tant en science qu’en religion. Cette traduction, suivie d’une analyse diachronique et dialectologique des lexèmes du Saint Coran vise essentiellement à apporter des preuves palpables pour appuyer les conclusions de La vérité cachée. À l’issue de cette étude, plusieurs isoglosses ont pu être identifiées à travers un faisceau de langues situées d’une part dans les régions traversées par le Nil et des langues situées dans l’ancien Soudan central c’est-à-dire les langues de l’ouest africain. L’effet recherché avec un tel rapprochement est de démontrer que la pratique qui consiste à associer certaines invocations spirituelles du Saint Coran à viser thérapeutiques et des plantes phonétiquement apparentées ne constitue en aucune façon un syncrétisme religieux bien au contraire.

    15000 CFA